Le vent accouple la peur à la tempête
Qui transpire de violence la terreur
La flamme volcanique réduit
L'espoir aux cendres des brumes
Où moissonne l'ange terrible
La terre redevient poussière
Dans le renoncement de l'être
Où s'effondrent les vaines miettes
Et dans l'abandon de l'homme déserté
Du sang de la terre, Gaïa pleure.